Titre : | Biribi : Les bagnes coloniaux de l'armée française | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Dominique Kalifa, Auteur | Editeur : | Paris : Perrin | Année de publication : | 2009 | Importance : | 344 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-262-02384-3 | Catégories : | 1870-1914 19e siècle 20e siècle Afrique du Nord Algérie Antimilitarisme armée établissement pénitentiaire France torture vie en prison
| Tags : | prisonnier | Index. décimale : | 363 | Résumé : | Biribi était le nom donné, au XIXe siècle, aux bagnes militaires installés par l'armée française en Afrique du Nord pour se débarrasser de ses « mauvais sujets » : rebelles, fortes têtes, condamnés des conseils de guerre, parfois aussi opposants politiques, homosexuels ou faibles d'esprit. L'auteur décrit l'histoire tragique de ces hommes soumis aux brimades et aux sévices infligés par des sous-officiers indignes, au travail harassant sous un soleil de plomb, à la violence de ce qui constituait les bas-fonds de l'armée. Mais il montre aussi comment le courage de quelques-uns – militants, médecins ou reporters, comme Albert Londres – contribua à faire prendre conscience au pays de l'horreur vécue dans ces camps disciplinaires. Les derniers « corps spéciaux » de l'armée française furent supprimés au début des années 1970 |
Biribi : Les bagnes coloniaux de l'armée française [texte imprimé] / Dominique Kalifa, Auteur . - Paris (Paris) : Perrin, 2009 . - 344 p. ISBN : 978-2-262-02384-3 Catégories : | 1870-1914 19e siècle 20e siècle Afrique du Nord Algérie Antimilitarisme armée établissement pénitentiaire France torture vie en prison
| Tags : | prisonnier | Index. décimale : | 363 | Résumé : | Biribi était le nom donné, au XIXe siècle, aux bagnes militaires installés par l'armée française en Afrique du Nord pour se débarrasser de ses « mauvais sujets » : rebelles, fortes têtes, condamnés des conseils de guerre, parfois aussi opposants politiques, homosexuels ou faibles d'esprit. L'auteur décrit l'histoire tragique de ces hommes soumis aux brimades et aux sévices infligés par des sous-officiers indignes, au travail harassant sous un soleil de plomb, à la violence de ce qui constituait les bas-fonds de l'armée. Mais il montre aussi comment le courage de quelques-uns – militants, médecins ou reporters, comme Albert Londres – contribua à faire prendre conscience au pays de l'horreur vécue dans ces camps disciplinaires. Les derniers « corps spéciaux » de l'armée française furent supprimés au début des années 1970 |
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