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Comprendre le monde / Immanuel Wallerstein

Public ISBD Titre : Comprendre le monde : introduction à l'analyse des systèmes-monde Type de document : texte imprimé Auteurs : Immanuel Wallerstein (1930-....), Auteur ; Camille Horsey, Traducteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2009 Collection : La Découverte - Poche Sous-collection : Sciences humaines et sociales Importance : 1 vol. (173 p.) Présentation : couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5745-4 Note générale : Bibliogr. p. 165-170. Bibliogr. des oeuvres de I. Wallerstein, p. 163-164. Glossaire Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : histoire monde mutation sociale système social Index. décimale : 327 Résumé : Pour la majorité des médias et des experts, la mondialisation et le terrorisme sont les traits majeurs, largement inédits, du monde actuel. En fait, seule la mise en perspective historique sur la longue période permet de comprendre les origines de ces deux phénomènes. C'est ce que montre l'analyse en termes de « systèmes-monde » qu'Immanuel Wallerstein développe depuis plus de trente ans et qui, bien plus que celui d'État-nation, permet de saisir les lignes de force qui façonnent l'évolution des sociétés. Brossant les étapes de construction du système-monde depuis le XVIe siècle, l'auteur explique comment celui-ci est d'abord une construction sociale, mobilisant des acteurs agissant à différents niveaux : nations, entreprises, familles, classes, groupes identitaires' Une introduction lumineuse pour discuter des outils de compréhension du monde contemporain et sortir de la vulgate médiatico-libérale dominante. Comprendre le monde : introduction à l'analyse des systèmes-monde [texte imprimé] / Immanuel Wallerstein (1930-....), Auteur ; Camille Horsey, Traducteur . - Paris (Paris) : La Découverte, 2009 . - 1 vol. (173 p.) : couv. ill. en coul.. - (La Découverte - Poche. Sciences humaines et sociales) . ISBN : 978-2-7071-5745-4 Bibliogr. p. 165-170. Bibliogr. des oeuvres de I. Wallerstein, p. 163-164. Glossaire Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : histoire monde mutation sociale système social Index. décimale : 327 Résumé : Pour la majorité des médias et des experts, la mondialisation et le terrorisme sont les traits majeurs, largement inédits, du monde actuel. En fait, seule la mise en perspective historique sur la longue période permet de comprendre les origines de ces deux phénomènes. C'est ce que montre l'analyse en termes de « systèmes-monde » qu'Immanuel Wallerstein développe depuis plus de trente ans et qui, bien plus que celui d'État-nation, permet de saisir les lignes de force qui façonnent l'évolution des sociétés. Brossant les étapes de construction du système-monde depuis le XVIe siècle, l'auteur explique comment celui-ci est d'abord une construction sociale, mobilisant des acteurs agissant à différents niveaux : nations, entreprises, familles, classes, groupes identitaires' Une introduction lumineuse pour discuter des outils de compréhension du monde contemporain et sortir de la vulgate médiatico-libérale dominante.

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040754	327 WAL	Livre	Bibliothèque	3 - Sciences sociales	En bon état Disponible

Donner et prendre / Norbert Alter

Public ISBD Titre : Donner et prendre : la coopération en entreprise Type de document : texte imprimé Auteurs : Norbert Alter (1952-....), Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2010 Collection : La Découverte - Poche Sous-collection : Sciences humaines et sociales Importance : 1 vol. (232 p.) Présentation : couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-6720-0 Note générale : Bibliogr. p. 227-230 Langues : Français (fre) Catégories : Communication dans les organisations Sociologie du travail Tags : Coopération (psychologie) Index. décimale : 306.36 Résumé : Ce livre aborde la principale énigme du monde du travail : la coopération. Elle est nécessaire au bon fonctionnement des entreprises, mais ne repose que sur la « bonne volonté » des opérateurs. La coopération ne s'explique en effet ni par l'intérêt économique, ni par la contrainte des procédures, ni par les normes de métier. Elle repose largement sur la seule volonté de donner : on donne aux autres parce que donner permet d'échanger et donc d'exister en entreprise. Coopérer suppose en effet de créer des liens sociaux, par l'intermédiaire desquels circulent des biens, des informations, des services, des symboles, des rites ou des émotions, comme circulaient les dons dans les sociétés « primitives ». Mais, hier comme aujourd'hui, ces échanges ne peuvent être réduits à une série de comportements altruistes et pacifiques : donner représente également le moyen d'obliger, d'obtenir, de trahir ou de prendre. Et ce « commerce » se réalise au nom d'un tiers, qu'il se nomme métier, mission, projet, réseau ou entreprise. Celle-ci tire donc parti de cette ingéniosité collective qui se donne à elle, permettant changement et mouvement. Pour autant, loin de reconnaître ces générosités, elle dénie l'existence du don et privilégie les modes de gestion « modernes », qui préfèrent que salariés et employeurs soient quittes, plutôt que mutuellement endettés. Norbert Alter met ainsi en évidence un phénomène paradoxal, qui prend à rebours les discours du management ordinaire : le problème des organisations ne consiste pas à « mobiliser les salariés », mais à tirer parti de leur volonté de donner. Donner et prendre : la coopération en entreprise [texte imprimé] / Norbert Alter (1952-....), Auteur . - Paris (Paris) : La Découverte, 2010 . - 1 vol. (232 p.) : couv. ill. en coul.. - (La Découverte - Poche. Sciences humaines et sociales) . ISBN : 978-2-7071-6720-0 Bibliogr. p. 227-230 Langues : Français (fre) Catégories : Communication dans les organisations Sociologie du travail Tags : Coopération (psychologie) Index. décimale : 306.36 Résumé : Ce livre aborde la principale énigme du monde du travail : la coopération. Elle est nécessaire au bon fonctionnement des entreprises, mais ne repose que sur la « bonne volonté » des opérateurs. La coopération ne s'explique en effet ni par l'intérêt économique, ni par la contrainte des procédures, ni par les normes de métier. Elle repose largement sur la seule volonté de donner : on donne aux autres parce que donner permet d'échanger et donc d'exister en entreprise. Coopérer suppose en effet de créer des liens sociaux, par l'intermédiaire desquels circulent des biens, des informations, des services, des symboles, des rites ou des émotions, comme circulaient les dons dans les sociétés « primitives ». Mais, hier comme aujourd'hui, ces échanges ne peuvent être réduits à une série de comportements altruistes et pacifiques : donner représente également le moyen d'obliger, d'obtenir, de trahir ou de prendre. Et ce « commerce » se réalise au nom d'un tiers, qu'il se nomme métier, mission, projet, réseau ou entreprise. Celle-ci tire donc parti de cette ingéniosité collective qui se donne à elle, permettant changement et mouvement. Pour autant, loin de reconnaître ces générosités, elle dénie l'existence du don et privilégie les modes de gestion « modernes », qui préfèrent que salariés et employeurs soient quittes, plutôt que mutuellement endettés. Norbert Alter met ainsi en évidence un phénomène paradoxal, qui prend à rebours les discours du management ordinaire : le problème des organisations ne consiste pas à « mobiliser les salariés », mais à tirer parti de leur volonté de donner.

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041152	306.3 ALT	Livre	Bibliothèque	3 - Sciences sociales	En bon état Disponible

Mythe et société en Grèce ancienne / Jean-Pierre Vernant

Public ISBD Titre : Mythe et société en Grèce ancienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Vernant (1914-....), Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2004 Collection : La Découverte - Poche Sous-collection : Sciences humaines et sociales Importance : 252 p. Présentation : couv. ill. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4325-9 Langues : Français (fre) Catégories : Antiquité grecque mythologie religion sociologie Résumé : Le mythe ne se définit pas seulement par sa polysémie, par l'emboîtement des différents codes les uns dans les autres. Entre les termes mêmes qu'il distingue ou qu'il oppose dans son armature catégorielle, il ménage dans le déroulement narratif et dans le découpage des champs sémantiques des passages, des glissements, des tensions, des oscillations, comme si les termes, tout en s'excluant, s'impliquaient aussi d'une certaine façon. Le mythe met donc en jeu une forme de logique qu'on peut appeler, en contraste avec la logique de non-contradiction des philosophes, une logique de l'ambigu, de l'équivoque, de la polarité. Quel est d'autre part le lien entre le cadre intellectuel dégagé par l'analyse structurale et le contexte socio-historique où le mythe a été produit ? Comment s'articulent, dans le travail concret de déchiffrement, une recherche en synchronie où chaque élément s'explique par l'ensemble de ses relations au système et une enquête en diachronie où les éléments, insérés dans des séries temporelles, s'expliquent par leurs rapports à ceux qui les ont précédés dans les séquences ainsi définies ? La réponse consisterait sans doute à montrer que, pas plus dans l'enquête historique que dans l'analyse en synchronie, on ne rencontre d'éléments isolés, mais toujours des structures, liées plus ou moins fortement à d'autres, et que les séries temporelles concernent des remaniements, plus ou moins étendus, de structures au sein de ces mêmes systèmes que vise l'étude structurale. Mythe et société en Grèce ancienne [texte imprimé] / Jean-Pierre Vernant (1914-....), Auteur . - Paris (Paris) : La Découverte, 2004 . - 252 p. : couv. ill.. - (La Découverte - Poche. Sciences humaines et sociales) . ISBN : 978-2-7071-4325-9 Langues : Français (fre) Catégories : Antiquité grecque mythologie religion sociologie Résumé : Le mythe ne se définit pas seulement par sa polysémie, par l'emboîtement des différents codes les uns dans les autres. Entre les termes mêmes qu'il distingue ou qu'il oppose dans son armature catégorielle, il ménage dans le déroulement narratif et dans le découpage des champs sémantiques des passages, des glissements, des tensions, des oscillations, comme si les termes, tout en s'excluant, s'impliquaient aussi d'une certaine façon. Le mythe met donc en jeu une forme de logique qu'on peut appeler, en contraste avec la logique de non-contradiction des philosophes, une logique de l'ambigu, de l'équivoque, de la polarité. Quel est d'autre part le lien entre le cadre intellectuel dégagé par l'analyse structurale et le contexte socio-historique où le mythe a été produit ? Comment s'articulent, dans le travail concret de déchiffrement, une recherche en synchronie où chaque élément s'explique par l'ensemble de ses relations au système et une enquête en diachronie où les éléments, insérés dans des séries temporelles, s'expliquent par leurs rapports à ceux qui les ont précédés dans les séquences ainsi définies ? La réponse consisterait sans doute à montrer que, pas plus dans l'enquête historique que dans l'analyse en synchronie, on ne rencontre d'éléments isolés, mais toujours des structures, liées plus ou moins fortement à d'autres, et que les séries temporelles concernent des remaniements, plus ou moins étendus, de structures au sein de ces mêmes systèmes que vise l'étude structurale.

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041825	938 VER	Livre	Bibliothèque	9 - Histoire	En bon état Disponible