Titre : | La démondialisation | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jacques Sapir (1954-....), Auteur | Editeur : | Paris : Seuil | Année de publication : | 2012 | Collection : | Points | Sous-collection : | Économie num. E65 | Importance : | 1 vol. (256 p.) | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7578-2976-9 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | 21e siècle finance internationale Mondialisation Relations économiques internationales
| Index. décimale : | 337 | Résumé : | Face à la crise du capitalisme, on voit le FMI, des gouvernements ou des économistes célèbres brûler ce qu’ils ont adoré – le marché – et réhabiliter l’État autrefois honni : nous vivons l’amorce d’une « démondialisation ». Ce mouvement réveille de vieilles peurs. Et si elle annonçait le retour au temps des guerres ? Ces craintes sont l’effet d’un mythe qui fut propagé par intérêt, celui du « doux commerce » venant se substituer aux conflits. C’est par la violence, en réalité, à coups de calculs et de mensonges, que les puissances dominantes ont ouvert les marchés et modifié à leur guise les termes de l’échange. Il faut donc établir le vrai bilan de cette mondialisation, pour penser rigoureusement une nouvelle organisation commerciale et financière qui ne conduise pas au chaos et à l’affrontement des nationalismes. |
La démondialisation [texte imprimé] / Jacques Sapir (1954-....), Auteur . - Paris (Paris) : Seuil, 2012 . - 1 vol. (256 p.). - ( Points. Économie; E65) . ISBN : 978-2-7578-2976-9 Langues : Français ( fre) Catégories : | 21e siècle finance internationale Mondialisation Relations économiques internationales
| Index. décimale : | 337 | Résumé : | Face à la crise du capitalisme, on voit le FMI, des gouvernements ou des économistes célèbres brûler ce qu’ils ont adoré – le marché – et réhabiliter l’État autrefois honni : nous vivons l’amorce d’une « démondialisation ». Ce mouvement réveille de vieilles peurs. Et si elle annonçait le retour au temps des guerres ? Ces craintes sont l’effet d’un mythe qui fut propagé par intérêt, celui du « doux commerce » venant se substituer aux conflits. C’est par la violence, en réalité, à coups de calculs et de mensonges, que les puissances dominantes ont ouvert les marchés et modifié à leur guise les termes de l’échange. Il faut donc établir le vrai bilan de cette mondialisation, pour penser rigoureusement une nouvelle organisation commerciale et financière qui ne conduise pas au chaos et à l’affrontement des nationalismes. |
| |