Titre : | Louis XIV : un règne de grandeur | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Alexandre Maral (1968-....), Auteur | Editeur : | Paris : Figaro | Année de publication : | 2011 | Autre Editeur : | Paris : Express | Collection : | Ils ont fait la France num. volume 2 | Importance : | 1 vol. (377 p.) | Présentation : | ill., couv. et étui ill. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-8105-0410-7 | Note générale : | Contient des extraits de textes de divers auteurs
Bibliogr. p. 90-91 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Louis XIV (1638-1715 ; roi de France)
| Résumé : | La quatrième page de couverture indique : "Louis XIV, roi à cinq ans, prend le pouvoir à vingt-trois ans en 1661, à la mort du cardinal Mazarin. Il règne jusqu’en 1715. Il a changé le visage de la France. Elle s’est agrandie de l’Alsace, de l’Artois, de la Franche-Comté, du Roussillon. Lille et Strasbourg sont devenues françaises. Versailles, né de la volonté du Roi, est le symbole éclatant de ce royaume que les souverains d’Europe imitent et craignent, jalousent et combattent. Tous les talents – Molière et Lulli, Bossuet et Racine, Le Vau et Mansart… tant d’autres – concourent à la gloire de Louis le Grand. En 1674, son historiographe écrit, évoquant Versailles : « Comme le Soleil est la devise du Roi, et que les poètes confondent le Soleil et Apollon, il n’y a rien dans cette superbe maison qui n’ait de rapport à cette divinité. » Louis XIV est le Roi-Soleil. Il danse seul sur la scène devant la Cour, figure centrale du ballet. Il a, dit-on, les plus belles jambes du royaume. Il est vénéré tel Apollon. Il faut participer au culte du Roi-Soleil, réglé par un rituel, une étiquette qui rythme tous les moments de la journée : du « petit et grand lever » au « grand et petit coucher ».La Cour est ainsi l’école de la servilité. Mais Versailles est aussi le lieu qui exprime la volonté du Roi-Soleil de conjuguer Pouvoir et Beauté, pour la plus grande gloire du Roi. On mesure ce que la France d’aujourd’hui doit au Roi-Soleil. Il était homme de plaisir et homme de devoir. Il voulait la grandeur du Royaume de France, exerçant son « métier de roi » en dépit de cruelles maladies et des deuils qui l’ont frappé." Max Gallo, de l'Académie française |
Louis XIV : un règne de grandeur [texte imprimé] / Alexandre Maral (1968-....), Auteur . - Paris : Figaro : Paris (Paris) : Express, 2011 . - 1 vol. (377 p.) : ill., couv. et étui ill.. - ( Ils ont fait la France; volume 2) . ISBN : 978-2-8105-0410-7 Contient des extraits de textes de divers auteurs
Bibliogr. p. 90-91 Langues : Français ( fre) Catégories : | Louis XIV (1638-1715 ; roi de France)
| Résumé : | La quatrième page de couverture indique : "Louis XIV, roi à cinq ans, prend le pouvoir à vingt-trois ans en 1661, à la mort du cardinal Mazarin. Il règne jusqu’en 1715. Il a changé le visage de la France. Elle s’est agrandie de l’Alsace, de l’Artois, de la Franche-Comté, du Roussillon. Lille et Strasbourg sont devenues françaises. Versailles, né de la volonté du Roi, est le symbole éclatant de ce royaume que les souverains d’Europe imitent et craignent, jalousent et combattent. Tous les talents – Molière et Lulli, Bossuet et Racine, Le Vau et Mansart… tant d’autres – concourent à la gloire de Louis le Grand. En 1674, son historiographe écrit, évoquant Versailles : « Comme le Soleil est la devise du Roi, et que les poètes confondent le Soleil et Apollon, il n’y a rien dans cette superbe maison qui n’ait de rapport à cette divinité. » Louis XIV est le Roi-Soleil. Il danse seul sur la scène devant la Cour, figure centrale du ballet. Il a, dit-on, les plus belles jambes du royaume. Il est vénéré tel Apollon. Il faut participer au culte du Roi-Soleil, réglé par un rituel, une étiquette qui rythme tous les moments de la journée : du « petit et grand lever » au « grand et petit coucher ».La Cour est ainsi l’école de la servilité. Mais Versailles est aussi le lieu qui exprime la volonté du Roi-Soleil de conjuguer Pouvoir et Beauté, pour la plus grande gloire du Roi. On mesure ce que la France d’aujourd’hui doit au Roi-Soleil. Il était homme de plaisir et homme de devoir. Il voulait la grandeur du Royaume de France, exerçant son « métier de roi » en dépit de cruelles maladies et des deuils qui l’ont frappé." Max Gallo, de l'Académie française |
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