Titre : | Les royaumes barbares en Occident | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Magali Coumert (1976-....), Auteur ; Bruno Dumézil (1976-....), Auteur | Mention d'édition : | 3e éd. | Editeur : | Paris : Presses universitaires de France | Année de publication : | 2017 | Collection : | Que sais-je ?, ISSN 0768-0066 | Importance : | 1 vol. (127 p.) | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-13-079820-0 | Note générale : | Bibliogr. p. 125-126 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Barbares -- Histoire -- Europe de l'Ouest Rome -- 3e-6e siècle (Grandes invasions)
| Index. décimale : | 940.1 | Résumé : |
La 4ème de couv. indique : "Les Barbares ont une drôle de réputation. Les penseurs de la Renaissance leur imputent le naufrage de la seule véritable civilisation : Rome. Les historiens du XIXe siècle leur octroient volontiers l'origine des nations européennes : les Angles n'ont-ils pas donné leur nom à l'Angleterre, les Francs à la France ? Si les chercheurs actuels ont bien abandonné ces présupposés, leur travail historique reste délicat : les populations vivant au nord du Rhin et du Danube ne maîtrisaient pas l'écrit pendant toute l'Antiquité, et l'apport considérable de l'archéologie ne compense qu'en partie cette quasi-absence de textes. Une chose est sûre aujourd'hui : le modèle explicatif des "grandes migrations" n'est pas le bon. Il ne permet notamment pas d'appréhender le processus qui a abouti à la création de nouvelles identités ethniques métissées autour desquelles se sont forgés, lentement, de nouveaux peuples." |
Les royaumes barbares en Occident [texte imprimé] / Magali Coumert (1976-....), Auteur ; Bruno Dumézil (1976-....), Auteur . - 3e éd. . - Paris : Presses universitaires de France, 2017 . - 1 vol. (127 p.). - ( Que sais-je ?, ISSN 0768-0066) . ISBN : 978-2-13-079820-0 Bibliogr. p. 125-126 Langues : Français ( fre) Catégories : | Barbares -- Histoire -- Europe de l'Ouest Rome -- 3e-6e siècle (Grandes invasions)
| Index. décimale : | 940.1 | Résumé : |
La 4ème de couv. indique : "Les Barbares ont une drôle de réputation. Les penseurs de la Renaissance leur imputent le naufrage de la seule véritable civilisation : Rome. Les historiens du XIXe siècle leur octroient volontiers l'origine des nations européennes : les Angles n'ont-ils pas donné leur nom à l'Angleterre, les Francs à la France ? Si les chercheurs actuels ont bien abandonné ces présupposés, leur travail historique reste délicat : les populations vivant au nord du Rhin et du Danube ne maîtrisaient pas l'écrit pendant toute l'Antiquité, et l'apport considérable de l'archéologie ne compense qu'en partie cette quasi-absence de textes. Une chose est sûre aujourd'hui : le modèle explicatif des "grandes migrations" n'est pas le bon. Il ne permet notamment pas d'appréhender le processus qui a abouti à la création de nouvelles identités ethniques métissées autour desquelles se sont forgés, lentement, de nouveaux peuples." |
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