Titre de série : | À la recherche du temps perdu | Titre : | Le temps retrouvé | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Marcel Proust (1871-1922), Auteur ; Eugène Nicole (1942-....), Editeur scientifique | Editeur : | Paris : Librairie générale française | Année de publication : | 1993 | Collection : | à la recherche du temps perdu num. 7396 | Importance : | 561 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-06125-0 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 843.9 | Résumé : | De retour à Combray après son histoire tourmentée avec Albertine, le narrateur de La Recherche est livré à l'amertume et à l'indifférence. Ni le souvenir ni la littérature ne trouvent plus en lui d'écho sensible. Ce n'est que plus tard, à Paris, que le hasard lui procurera une expérience capitale : deux dalles disjointes sous ses pieds, le tintement d'une cuiller, ranimant en lui le souvenir et sa félicité propre, vont lui faire découvrir comment l'oeuvre d'art - celle que le romancier achève au moment où le narrateur la commence - nous donne seule accès à la vraie vie . Voyez-vous cet homme seul, luttant pied à Pied jusqu'à la mort contre le flot montant des souvenirs... Il est mort de ce travail insensé; il est mort, peut-être sans Dieu dont l'amour l'en eût détourné... A nous, ses frères plus jeunes qui l'avons admiré et aimé, voilà la Won terrible qu'il nous laisse: l'art n'est pas une plaisanterie; il y va de la vie et il y va de bien plus. François Mauriac. |
À la recherche du temps perdu. Le temps retrouvé [texte imprimé] / Marcel Proust (1871-1922), Auteur ; Eugène Nicole (1942-....), Editeur scientifique . - Paris : Librairie générale française, 1993 . - 561 p. : couv. ill. en coul. ; 17 cm. - ( à la recherche du temps perdu; 7396) . ISBN : 978-2-253-06125-0 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 843.9 | Résumé : | De retour à Combray après son histoire tourmentée avec Albertine, le narrateur de La Recherche est livré à l'amertume et à l'indifférence. Ni le souvenir ni la littérature ne trouvent plus en lui d'écho sensible. Ce n'est que plus tard, à Paris, que le hasard lui procurera une expérience capitale : deux dalles disjointes sous ses pieds, le tintement d'une cuiller, ranimant en lui le souvenir et sa félicité propre, vont lui faire découvrir comment l'oeuvre d'art - celle que le romancier achève au moment où le narrateur la commence - nous donne seule accès à la vraie vie . Voyez-vous cet homme seul, luttant pied à Pied jusqu'à la mort contre le flot montant des souvenirs... Il est mort de ce travail insensé; il est mort, peut-être sans Dieu dont l'amour l'en eût détourné... A nous, ses frères plus jeunes qui l'avons admiré et aimé, voilà la Won terrible qu'il nous laisse: l'art n'est pas une plaisanterie; il y va de la vie et il y va de bien plus. François Mauriac. |
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