Titre : | Quand faire, c'est croire : les rites sacrificiels des Romains | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | John Scheid (1946-....), Auteur | Editeur : | Paris : Aubier | Année de publication : | 2011 | Collection : | historique | Importance : | 1 vol. (348 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7007-0415-0 | Note générale : | Contient un choix de documents
Bibliogr. p. 327-346 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Antiquité romaine offrande religieuse religion
| Tags : | Sacrifice religieux religion romaine | Index. décimale : | 292 | Résumé : | La religion des Romains a mauvaise réputation. Comparée aux religions universelles dites du Livre, elle paraît dénuée d'intérêt. Ignorant l'idée de révélation, dépourvue de croyances et de dogmes, elle ne se compose que de rites et d'obligations rituelles. C'est précisément ce ritualisme qui a longtemps été mal compris, voire méprisé. Or rites et sacrifices peuvent manifester une pensée théologique ou philosophique implicite : ils mettent en scène les hiérarchies qui existent dans ce monde-ci et dans l'au-delà, entre les hommes et les dieux, entre les dieux eux-mêmes, et entre leurs partenaires humains. Ainsi, la découpe d'un boeuf, l'ordre de distribution des parts de viande ou même la manière de les consommer en disent long sur les relations entre les dieux et les humains. |
Quand faire, c'est croire : les rites sacrificiels des Romains [texte imprimé] / John Scheid (1946-....), Auteur . - Paris (Paris) : Aubier, 2011 . - 1 vol. (348 p.) : couv. ill. en coul.. - ( historique) . ISBN : 978-2-7007-0415-0 Contient un choix de documents
Bibliogr. p. 327-346 Langues : Français ( fre) Catégories : | Antiquité romaine offrande religieuse religion
| Tags : | Sacrifice religieux religion romaine | Index. décimale : | 292 | Résumé : | La religion des Romains a mauvaise réputation. Comparée aux religions universelles dites du Livre, elle paraît dénuée d'intérêt. Ignorant l'idée de révélation, dépourvue de croyances et de dogmes, elle ne se compose que de rites et d'obligations rituelles. C'est précisément ce ritualisme qui a longtemps été mal compris, voire méprisé. Or rites et sacrifices peuvent manifester une pensée théologique ou philosophique implicite : ils mettent en scène les hiérarchies qui existent dans ce monde-ci et dans l'au-delà, entre les hommes et les dieux, entre les dieux eux-mêmes, et entre leurs partenaires humains. Ainsi, la découpe d'un boeuf, l'ordre de distribution des parts de viande ou même la manière de les consommer en disent long sur les relations entre les dieux et les humains. |
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