Titre : | À bas la presse bourgeoise ! : Deux siècles de critique anticapitaliste des médias, de 1836 à nos jours | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Dominique Pinsolle, Auteur | Editeur : | Marseille : Agone | Année de publication : | 2022 | Collection : | Contre-Feux | Importance : | 1 vol. (250 p.) | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7489-0499-4 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Liberté de la presse Presse -- Évaluation Presse et politique
| Index. décimale : | 070 | Résumé : | La liberté de la presse a ceci de commun avec la République qu’elle est aujourd’hui défendue même par les forces politiques qui ont le plus férocement ferraillé contre elle dans un passé pas si lointain. Les avocats de la critique de la presse, eux, sont beaucoup moins nombreux. Passe encore de flétrir l’autoritarisme d’un magnat tout-puissant. Mais au-delà ? Suggérer qu’il n’y aura pas de liberté de la presse tant que les médias sont accaparés par une minorité fortunée suscitera des regards suspicieux : complotisme ?... À l’heure des amalgames faciles, rappeler que la lutte pour la liberté de la presse a aussi remis en cause, parfois avec fracas, le pouvoir de ses propriétaires, n’est pas inutile. Car à trop attribuer aux seuls libéraux les acquis de ce combat, on en oublierait presque que ce dernier avait aussi partie liée avec la lutte des classes.[4ème de couv.] |
À bas la presse bourgeoise ! : Deux siècles de critique anticapitaliste des médias, de 1836 à nos jours [texte imprimé] / Dominique Pinsolle, Auteur . - Marseille (Marseille) : Agone, 2022 . - 1 vol. (250 p.). - ( Contre-Feux) . ISBN : 978-2-7489-0499-4 Langues : Français ( fre) Catégories : | Liberté de la presse Presse -- Évaluation Presse et politique
| Index. décimale : | 070 | Résumé : | La liberté de la presse a ceci de commun avec la République qu’elle est aujourd’hui défendue même par les forces politiques qui ont le plus férocement ferraillé contre elle dans un passé pas si lointain. Les avocats de la critique de la presse, eux, sont beaucoup moins nombreux. Passe encore de flétrir l’autoritarisme d’un magnat tout-puissant. Mais au-delà ? Suggérer qu’il n’y aura pas de liberté de la presse tant que les médias sont accaparés par une minorité fortunée suscitera des regards suspicieux : complotisme ?... À l’heure des amalgames faciles, rappeler que la lutte pour la liberté de la presse a aussi remis en cause, parfois avec fracas, le pouvoir de ses propriétaires, n’est pas inutile. Car à trop attribuer aux seuls libéraux les acquis de ce combat, on en oublierait presque que ce dernier avait aussi partie liée avec la lutte des classes.[4ème de couv.] |
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