Titre : | La légende de la mort. | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Anatole Le Braz, Auteur | Editeur : | Spézet : Coop breizh | Année de publication : | 2009 | Importance : | 1 vol. (487 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84346-415-7 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Bretagne : province littérature régionale superstition tradition orale
| Résumé : | La Bretagne est certainement l'une des régions où le culte de la mort est le plus en faveur et le plus présent quotidiennement. Ce livre, malgré son titre, n'est pas un recueil de légendes et de contes, mais la somme d'une multitude de témoignages, de confidences et de récits recueillis en Armor et en Argoat, transcrits et fidèlement traduits du breton par Anatole Le Braz. Cela donne à cette oeuvre, en quelque sorte collective, une authenticité, une chair et une saveur incomparable. Elle est un fidèle miroir de la sensibilité et de l'imagination des bretons qui se reconnaissent toujours dans la légende de la Mort, et ne sont pas terrorisés par l'ombre de l'Ankou (la représentation de la mort) sur le peuple des Anaon (âmes) et pour qui les Kannerezed noz (lavandières de la nuit) ont gardé leur pouvoir enchanteur. (4ème de couverture). |
La légende de la mort. [texte imprimé] / Anatole Le Braz, Auteur . - Spézet (Spézet) : Coop breizh, 2009 . - 1 vol. (487 p.) : couv. ill. ; 17 cm. ISBN : 978-2-84346-415-7 Langues : Français ( fre) Catégories : | Bretagne : province littérature régionale superstition tradition orale
| Résumé : | La Bretagne est certainement l'une des régions où le culte de la mort est le plus en faveur et le plus présent quotidiennement. Ce livre, malgré son titre, n'est pas un recueil de légendes et de contes, mais la somme d'une multitude de témoignages, de confidences et de récits recueillis en Armor et en Argoat, transcrits et fidèlement traduits du breton par Anatole Le Braz. Cela donne à cette oeuvre, en quelque sorte collective, une authenticité, une chair et une saveur incomparable. Elle est un fidèle miroir de la sensibilité et de l'imagination des bretons qui se reconnaissent toujours dans la légende de la Mort, et ne sont pas terrorisés par l'ombre de l'Ankou (la représentation de la mort) sur le peuple des Anaon (âmes) et pour qui les Kannerezed noz (lavandières de la nuit) ont gardé leur pouvoir enchanteur. (4ème de couverture). |
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